Mon portefeuille d’actions en ce début d’année 2012

Et bien, rien n’a changé! Je suis toujours détenteur d’un FCP de 20K euros dans une assurance-vie multisupport et de 3 titres achetés en aout 2011:

Unibail rodamco: 39 actions à 127,78€ (prix de revient)

Sanofi aventis: 101 actions à 49,41€

Total: 146 actions à 34,31€

bourse2-150x114Dois-je regretter de ne pas avoir acheté plus d’actions durant la forte baisse de 2011? Non, car j’ai quand même acheté durant la tempête boursière de l’été dernier. Et je ne suis pas un investisseur à ressasser le passé mais à penser à l’avenir. Je suis toujours fortement liquide pour de futures acquisitions de valeurs US. Je suis un investisseur en attente sur les marchés en sachant que ceux-ci ont fortement redressé la tête ces dernières semaines. Je ne fais pas du trading à fréquence élevée mais j’investis sur du long terme. Ces actions cités plus haut, doivent me permettre d’obtenir une source de revenus par les dividendes qu’elles vont générer.

Que penser de l’avenir? Personne et je dis bien personne ne peut savoir ce qui va se passer sur les marchés en cette année 2012. Je n’ai plus acheté d’actions depuis cet été car celles-ci, dans leur généralité, ont repris plus de 20%. Fervent croyant des cycles économiques et tentant d’en profiter, je ne pense pas que la période est propice pour investir après un tel regain de forme. Surtout que je ne vois pas la Grèce s’en sortir à grands coups de plans de rigueur. Surtout que je ne vois pas comment la croissance va revenir en France, Italie et Espagne en taxant à tout-va les classes moyennes. La consommation des ménages est une donnée essentielle et rien n’est fait en sa faveur. Et je ne parle pas de notre politique commerciale, à nous les Français, qui est calamiteuse.

Je ne vois pas l’avenir en rose et il serait surprenant que les marchés continuent de grimper. Pour information, cela fait des années que je fais visiter à des centaines de personnes mes studios sur Bordeaux. Et pour la première fois, j’ai fais visiter à une étudiante espagnole qui cherchait un stage puis à une autre espagnole, chômeuse, qui cherchait un emploi en France. Et en entre temps, ce fut un portugais lui aussi en demande d’emploi.

Simple coïncidence ou début, oui je dis bien début, d’une crise majeure européenne qui se répercutera forcément sur les marchés boursiers?