Investir? Oui, mais où

Avec de fortes liquidités depuis plus d’un an suite à la vente d’un bien immobilier, je me retrouve en situation de statu-quo.

investir-150x150Ma priorité était l’achat d’actions mais seulement 10% de mes liquidités ont été investis. Pour mémoire, voici les achats:

Klepierre: 252 actions à 19,77€  (prix de revient)

Unibail rodamco: 39 actions à 127,78€

Sanofi aventis: 101 actions à 49,41€

Total: 146 actions à 34,31€

Klepierre a été revendu depuis mais les autres valeurs sont conservées pour leurs dividendes et/ou rendements.

Avec la hausse des marchés depuis plus d’1 an, je ne compte pas investir en bourse prochainement. En conséquence, cela contrarie mes plans. Avec de l’argent « qui dort » placé notamment sur des livrets épargne, livret A ou assurance-vie à un taux somme toute correct, je ne peux pas me permettre d’attendre trop longtemps.

J’avais décidé de faire une pause dans l’immobilier mais 2013 va être synonyme d’investissement immobilier, en particulier dans les studios. Bien évidemment, tout dépendra de l’intérêt de l’achat.

Mon objectif de diversification est mis à mal, contrarié par le manque d’opportunités à l’heure actuelle. Maintenant, je vois le verre à moitié plein. Il est préférable d’attendre plutôt que d’investir à mal et perdre de l’argent. De toute façon, mon argent n’est pas thésaurisé, il rapporte très légèrement plus que le taux d’inflation. Donc, les conséquences de ne pas investir ne sont pas dramatiques.

Qui dit attente, ne dit pas immobilisme. Savoir ne pas se précipiter est une force et permet aussi de travailler sur d’autres projets. Je suis sur un autre projet que j’avais déjà évoquer mais j’en parlerai plus dans un prochain article.

Et vous? Quels sont vos supports ou prochaines cibles d’investissements? Êtes-vous, tout comme moi, en attente? La session commentaire en dessous de l’article vous attend avec plaisir!