Investir dans l’immobilier selon le type de bien

Dans cet article je vais parler d’investissement locatif ( locatif et même spéculatif) selon le type et la surface du bien. En effet, chaque bien a une spécificité bien précise selon sa surface. C’est parti pour une revue des types de logement:

Le studio ou T1: Ce type de bien est très prisé des investisseurs mais pas des gros investisseurs. Ce type de bien (avec une seule pièce) offre le meilleur rendement à la base. Le meilleur emplacement d’un studio se situe dans le centre ville des grandes villes ou dans les quartiers étudiants. La location est surtout destinée à un public d’étudiants ou de célibataires à revenus modérés. Un studio se louera plus difficilement au mois de janvier qu’au mois de septembre où l’offre est conséquente.

Le T2: Ce produit est aussi recherché par les petits investisseurs. Il s’adresse à une personne seule ou à un couple. L’emplacement est moins important que pour un studio (même si il est) et peut se louer facilement à n’importe quelle saison. Le rendement est inférieur en règle général.

Les T3 ou +: Ce sont des produits que les petits investisseurs privilégient beaucoup moins. Le rendement n’est pas du tout intéressant. Cependant, certains investisseurs s’y intéressent dans une optique de colocation. Par cette stratégie, le rendement devient viable.

Hors rendement de base, les investisseurs peuvent s’y intéresser dans une stratégie d’achat-revente. Comme la surface est conséquente, des divisions en deux lots sont possibles.

L’immeuble: La rolls royce des investisseurs et des gros investisseurs (marchand de biens entre autres) plus particulièrement. Quand je disais qu’un studio ne va pas intéresser un gros investisseur, c’est parce qu’il n’y trouvera pas beaucoup d’intérêt à y investir. Ses gains seraient minimes. Alors qu’avec un appartement de grande surface ou immeuble, il pourra les transformer en petites surfaces pour mieux les revendre ou louer.

Un petit investisseur comme moi n’a pas la concurrence qu’on pourrait croire. Personnellement, je fais « la guerre » avec les petits investisseurs. Les gros s’attaquent à des biens dont les prix ne sont pas accessibles à toutes les bourses.

Je précise que mon analyse est d’ordre générale. Vous pourriez trouver, tout comme moi, un certain nombre d’exemples qui contredirait mon argumentaire de base.